Nos amis les anges

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Avant de commencer notre propos, prenons le temps de nous arrêter quelques instants pour considérer la multitude d’anges qui sont là autour de nous. Ils partagent notre vie. Ils se rendent présents à nous. Ils nous aident à entrer en présence de Dieu. Ils nous éclairent, nous illuminent. Ils nous réconfortent et nous soutiennent. Ils nous aident à avancer, et à être heureux. Si nous prêtons l’oreille, c’est un chant d’amour joyeux et majestueux tout à la gloire de Dieu.

Considérons l’ange gardien plus particulier qui a été mis à notre côté pour toute notre vie. Il est là pour nous. Il nous connaît depuis toujours. Il veille sur nous. Il a été là dans nos moments de joies et dans nos moments de peines. Il nous parle chaque jour.

Confions-nous à eux, et demandons-leur de nous aider à mieux les connaître.

Notre allons chercher ici à présenter une histoire de notre perception des anges, puis à regarder qui ils sont, ensuite à voir leur organisation en hiérarchie, pour enfin nous intéresser à toute la communauté céleste. Nous donnons à la fin une liste des ouvrages qui ont permis cette synthèse. À ces références s’ajoutent dans notre propos divers éléments glanés au fil des rencontres et des échanges.

Une histoire de notre perception des anges

La connaissance des anges remontent au début de l’humanité. Leur action a pu être confondue avec celle de tous les soit-disant dieux ou génies auxquels les hommes ont longtemps cru. Ils les imaginaient habiter dans les sphères célestes. C’est-à-dire dans le monde supralunaire, au-delà de la Lune. Et ces dieux venaient parfois se mêler aux affaires des hommes habitant le monde sublunaire, ce monde des bas-fonds qui n’a pas toute la gloire du monde d’en-haut. À ce sujet, les anciens imaginaient que chacun de nous était relié à un dieu particulier : Apollon, Zeus, Athéna, etc. C’est l’origine de l’astrologie où considérant les astres du Ciel qui étaient donc dans le domaine des dieux, voir les dieux eux-mêmes, l’on pouvait découvrir les influences que ces derniers exerçaient sur nous.

La révélation biblique a fait disparaître ces conceptions par la croyance en un Dieu unique. Mais celui-ci a des anges pour l’aider. Les premières pages de la Bible nous font découvrir l’ange du Seigneur qui est l’envoyé de Dieu. Et progressivement une multitude d’anges apparaissent : des anges guerriers, des anges autour de Dieu (Séraphins, Chérubins, etc), des anges pour les nations, etc. Ce foisonnement vient notamment de l’exil à Babylone, où le judaïsme s’est enrichi des représentations de cette autre civilisation, mais en la transformant et en la purifiant. La conscience va aussi se développer d’une distinction très nette entre les anges bons et les anges mauvais.

Le Nouveau Testament nous montre beaucoup d’anges avec Jésus et avec les apôtres : à l’Annonciation, à Noël, au désert, à Gethsémani, à la Résurrection, etc. Nous y voyons aussi beaucoup de rencontres et d’exorcismes avec les démons. Le Christ apparaît aux premiers chrétiens comme le chef des anges, celui qui nous permet de ne plus redouter les puissances célestes : c’est un immense bouleversement. La dignité donnée au croyant qui accueille Dieu en lui va nous faire découvrir que les anges ne sont pas seulement les protecteurs des nations et des pays, mais aussi des personnes : tout baptisé à un ange gardien, et finalement tout homme a sûrement un ange gardien.

Le Moyen-Âge va être l’occasion de synthèses sur les anges : notamment celle du pseudo-Denys l’Aéropagite et celle de saint Thomas d’Aquin. La croyance d’une division entre le monde sublunaire et le monde supralunaire, habité et mû par les anges, va perdurer jusqu’à la révolution cosmologique de Copernic et de Galilée. Celle-ci va entraîner un grand bouleversement dans la représentation du monde, qui explique en partie l’arrivée et le succès d’une nouvelle métaphysique rationaliste, telle que celle de Descartes, qui ne veut plus se fonder sur les choses d’en-haut devenues incertaines, mais sur la raison humaine. Les anges, considérés comme suspects, vont alors être abandonnés, et relégués dans le domaine de la foi. C’était là le souhait de Descartes.

Ces nouvelles représentations vont être perçues comme une promotion pour l’homme qui semblait récupérer pour lui ce que l’on attribuait avant aux anges. Cela ira plus loin au XIXème siècle puis au XXème siècle, en récupérant pour l’homme ce que l’on attribuait avant à Dieu lui-même. Il s’agit désormais de laisser l’homme libre d’être ce qu’il veut être sans référence à ce monde d’en-haut, à Dieu, à toute perception de ces idées éternelles, que les anciens plaçaient dans le monde supralunaire.

La psychologie continuera à nous faire oublier le monde des anges en les interprétant comme une métaphore des profondeurs de l’inconscient : ils représentent nos luttes et nos forces intérieures. Et la société de divertissement, qui ne ménage plus de place pour la vie intérieure, nous fera passer à côté de notre désir de ce monde d’en-haut.

Tout cela amènera ce que l’on appelle le désenchantement du monde, et l’arrivée d’une existence humaine mouvante, fluide, pleine de divisions et de conflits, où tout semble ingouvernable et ingouverné. Et la disparition de la perception des anges a conduit inévitablement à la disparition du sens de Dieu. De fait, les anges, à mi-chemin entre Dieu et nous, nous aident à percevoir le divin.

Cependant, il faut noter qu’au-delà de ces mouvements assez prédominants de la pensée, les anges fascinent encore. Il y a même un regain d’intérêt pour eux. C’est une bonne chose, en dépit du côté farfelu de certaines croyances. Et c’est une porte ouverte à des échanges féconds.

Qui sont les anges ?

Aujourd’hui, il faut dire que nous ne savons finalement que peu de choses certaines sur eux. Et qu’il y a tout lieu d’élaborer de nouvelles synthèses à partir des anciennes pour sortir de certaines erreurs de représentations. Cela a d’autant plus d’intérêt que, même si les anges n’ont pas une place centrale d’une manière théorique en théologie, ils sont en pratique un des premiers lieux d’enseignement de toute vie authentiquement spirituelle. Ils partagent notre vie ; et il y aurait un manque à l’amour si nous n’apprenions pas à les connaître. Partout où il y a des hommes, il y a des anges.

« Ange » veut dire messager, envoyé. Ils sont de purs esprits. Ils sont spirituels, et non matériels. Nous, nous sommes spirituels et matériels. Les animaux ne sont que matériels. Les anges sont des personnes faites pour aimer, connaître et choisir. Ils sont des êtres spirituels riches et mystérieux, avec un agir dans leur monde, et une capacité d’agir dans le monde matériel, c’est-à-dire le nôtre. Par la grâce, pour ceux qui l’ont accueillie, ils sont devenus fils de Dieu, incorporés au Corps du Christ et membres de l’Église. Certains ont fait le choix de servir Dieu, ce sont les bons anges. D’autres l’ont refusé : ce sont les démons. Certaines traditions disent que le choix des anges s’est fait dans une vision de l’Enfant-Jésus : allaient-il servir le Verbe Incarné ?

Selon le pseudo-Denys l’Aéropagite, les anges purifient, illuminent et parfaient. Pour une meilleure précision de langage, et du fait de la proximité historique entre la notion de sainteté et celle de pureté, nous préférons pour notre part parler de sanctification au lieu de purification. Les trois fonctions angéliques sont donc :

  • Sanctifier : Ils nous rendent présents les mystères de Dieu. Ils nous les font goûter, nous en donnent la saveur. Ils nous aident à entrer dans la vie divine et dans sa sagesse. Ils nous mettent dans une posture existentielle adéquate devant le projet de Dieu, toute faite d’humilité, d’amour et d’adoration.

  • Illuminer : Ils nous font entrer dans l’intelligence des mystères. Ils nous aident dans notre contemplation de Dieu et notre quête de vérité. Grâce à eux, parce qu’ils nous font percevoir dans la nuit ce monde qui nous dépasse, nous pouvons en dire quelque chose.

  • Parfaire : Ils nous protègent et nous aident. Ils agissent avec nous et pour nous. Ils nous partagent leurs capacités pour nous aider dans nos pensées, nos paroles et notre agir. Ils nous aident dans nos choix, et préparent notre avenir. Ils sont à l’œuvre pour que le monde matériel atteignent une perfection qui le dépasse.

Certains pourraient se dire que tout cela est bien beau, mais que finalement tout cela se fait par l’opération de l’Esprit-Saint. Pourquoi ajouter encore les anges ? C’est là qu’il faut voir que Dieu aime se servir d’intermédiaires. Il demande à des parents d’élever des enfants. Il demande aux professeurs d’enseigner les étudiants. Il demande aux amis de rendre heureux leurs amis. Dieu aime se servir des anges pour assister d’autres anges, des hommes pour assister d’autres hommes, et des anges pour assister les hommes. Et d’après 1 P 1, 12, il se pourrait aussi qu’Il se serve des hommes pour apporter des choses aux anges.

Selon des conceptions qui ont traversé les âges, et que l’on retrouve notamment chez Thérèse de l’Enfant-Jésus, chaque ange est un reflet d’une perfection divine. Il y a l’ange de la joie, l’ange de la vie, l’ange de l’amour, l’ange de la tendresse, etc. À Fatima, l’ange s’est ainsi présenté comme étant l’ange de la paix.

La hiérarchie céleste

Selon les représentations les plus établies, les anges sont organisés en neuf chœurs regroupés en trois hiérarchies de trois chœurs chacune. Mais, on peut trouver une grande diversité dans la manière de décrire tout cela. Nous présenterons ci-dessous une certaine synthèse à ce sujet, celle qui nous a semblé la plus pertinente. Par ailleurs, nous utiliserons pour parler des chœurs et des hiérarchies un ordre descendant : la première hiérarchie est celle la plus proche de Dieu dans son immensité, le premier chœur est celui le plus proche de Dieu dans son immensité. Certains privilégient à l’inverse un ordre ascendant où l’on compte à partir des anges gardiens, et donc de notre propre point de vue.

Dieu dans son immensité

Première hiérarchie :

Louange de Dieu

(Ap 4)

7 Séraphins

Brûlant de charité et d’amour, ils louent sans cesse en présence de Dieu : c’est un chant d’amour au principe de toute la vie qui se déploie dans le monde.

Chérubins

Trônes

Deuxième hiérarchie :

Communication entre le Ciel et la Terre

(Gn 28,12)

Dominations

Montent et descendent entre la première et la troisième hiérarchie pour servir le projet de Dieu, pour propager la Lumière d’Amour dans le monde.

Vertus

Puissances

Troisième hiérarchie :

Mission sur la Terre

Principautés

Gardiens des ordres, des pays, des églises, des institutions …

Archanges

Anges

Gardiens des personnes

Humanité : sanctifiée, illuminée et perfectionnée par les anges

Dieu dans son Incarnation

Dans le tableau ci-dessus, on voit que les chœurs angéliques vont de Dieu à Dieu. Car de fait, Dieu se rend présent à tous directement. Mais la perception des anges, en remontant au travers des chœurs, nous aide à percevoir toute la grandeur de Dieu, toute son immensité. Cela nous aide à bien voir que ce Dieu qui se rend présent à nous est bien la Divinité. À l’inverse, Dieu s’étant fait chair en Jésus-Christ, toute la hiérarchie céleste s’est mise au service également de son humanité. La vie divine s’organise autour de Dieu rendu présent en son Incarnation.

La première hiérarchie loue devant le trône de Dieu. On la voit décrite dans les visions d’Ézéchiel et dans celles de l’Apocalypse. Il est possible d’imaginer que les quatre vivants et les vingt-quatre vieillards d’Apocalypse 4 représentent le nombre de chérubins et de trônes pour un séraphin donné. Ce qui ferait 28 chérubins et 168 trônes au total.

La deuxième hiérarchie sert à organiser la communauté céleste, à permettre l’unité de la vie qui s’y déploie. Ils sont sûrement des milliers, des millions et des milliards. Les anciens imaginaient cette hiérarchie comme étant plus particulièrement dans le monde supralunaire. Cela était une erreur, mais on peut garder de cette idée qu’ils servent d’intermédiaires entre la première et la troisième hiérarchie, entre le Ciel et la Terre. Ce sont ces anges qui montent et descendent, comme Jacob l’a vu lors de son songe (Gn 28, 12).

La troisième hiérarchie s’occupe du monde des hommes. Des personnes pour les anges gardiens, et d’autres réalités pour les archanges et les principautés. Certains protègent les paroisses, les ordres religieux et les diocèses, d’autres les villes, les régions et les pays. Et finalement, c’est tout groupe humain, tout courant, toute organisation, tout ce qui en a besoin, qui a un ange protecteur. On peut supposer que les archanges s’occupent des groupes et communautés de proximité, et les principautés s’occupent de celles aux dimensions plus grandes, à l’échelle d’une région, d’un pays, du monde. Ils sont des myriades de myriades (Ap 9, 16), des milliers de milliards, des milliards de milliards, … C’est une surabondance de vie et d’amour.

On peut également supposer que le cosmos fasse signe vers ce monde angélique. Il se peut que le nombre de planètes dans l’univers correspondent au nombre d’anges du dernier chœur de la troisième hiérarchie. Ils seraient alors des millions de milliards de milliards. Et il se peut qu’il existe un lien entre le nombre de puissances du sixième chœur de la deuxième hiérarchie et le nombre de galaxies dans l’univers. Ils seraient alors des milliards.

L’organisation de la communauté céleste

Nous avons chacun un ange gardien. Mais il est fort probable que chaque ange ait un un ange protecteur dans le chœur supérieur au sien. Cela fait donc des lignées d’ange. Ce qui veut dire que chacun de nous a des anges protecteurs particuliers dans chaque chœur angélique. Nous sommes tous rattachés à un séraphin, un chérubin, un trône, etc. Cela fait donc des familles d’âmes autour de chacun de ces anges, et cela rejoint l’idée antique qui disait que nous étions tous rattachés à un dieu donné. Certains sont rattachés à l’ange de la sagesse, d’autres à l’ange de l’humour, d’autres à celui de la bienveillance, etc. Et, pour qu’une communauté soit équilibrée, il faut suffisamment d’anges des premiers chœurs de représentés. Chacun est un peu le gardien d’une ou plusieurs perfections particulières, bien que tous soient appelés à les vivre toutes.

Au sein de chaque chœur a lieu un jeu de représentation des anges des chœurs supérieurs. C’est ce qui fait dire à saint Raphaël dans le livre de Tobie : “Je suis Raphaël, l’un des sept anges qui se tiennent toujours prêts à pénétrer auprès de la Gloire du Seigneur.” (Tb 12,15). Il est un archange, un ange du huitième chœur, mais il fait partie des sept représentants des séraphins dans son chœur. C’est aussi le cas de saint Michel, de saint Gabriel, et peut-être de saint Uriel si celui-ci est considéré comme un saint archange, ce qui fait débat. Ces archanges sont des princes de la milice céleste dans l’histoire du salut que nous vivons. L’on peut aussi penser qu’il y a des rotations de fonctions qui font que chaque ange passe aux divers degrés de représentations à des moments différents de la liturgie céleste qui se déploiera dans l’éternité pour exprimer son propre mystère aux autres de différentes manières, en symphonie avec tous les mystères. Il en est de même au sein de l’humanité. À ce sujet, il est une confusion fréquente qui consiste à prendre l’aura qui se dégage de certaines personnes comme venant de la personne elle-même, alors qu’elle vient de l’ange dont elle est l’ambassadeur pour une période donnée. Sainte Thérèse de Lisieux ou saint François d’Assise étaient des personnes humaines comme nous, mais elles étaient très certainement les ambassadeurs d’un ange de la première hiérarchie, voire du premier chœur.

Quant aux séraphins, ils passent à tour de rôle à la présidence de la hiérarchie céleste. Une hypothèse intéressante est la suivante. Le premier a présidé à partir d’Adam, le deuxième à partir de Noé, le troisième à partir d’Abraham, le quatrième à partir de David, le cinquième lors du premier millénaire chrétien, le sixième lors du deuxième millénaire chrétien. Nous en arrivons au septième séraphin. Et cela continuera de millénaire mystique en millénaire mystique dans cette liturgie du Ciel dont nous sommes déjà participants et qui sera rendue pleinement manifeste au paradis.

Quant à Jésus, Marie et sûrement Joseph, on peut dire que tous les anges sont leurs gardiens, du fait de leur vocation universelle. Ils règnent pour toujours sur la liturgie céleste. On peut également penser que tous les anges sont aussi les protecteurs d’Israël. Alors que les nations ont vocation à refléter les tonalités propres des anges de la première hiérarchie : chaque pays est rattaché plus particulièrement à un ange donné de cette première hiérarchie. Et il peut se dégager dans le monde sept grandes zones susceptibles de nous parler plus particulièrement des sept séraphins. La circulation entre les pays et les continents est alors à l’image de tous ces échanges entre les anges où chacun a besoin des autres pour mieux vivre son propre mystère.

Conclusion

Tout ce monde céleste n’est là que pour glorifier l’amour divin, la communauté divine et les personnes divines. C’est peut-être là d’ailleurs la distinction entre les séraphins, les chérubins et les trônes : les uns glorifient l’amour divin, les autres la communauté divine, les derniers les personnes divines. Le mouvement des Focolari, qui compte des millions de personnes à travers le monde, a compris, et inscrit dans sa propre organisation que l’amour se diffractait en sept couleurs, en sept notes fondamentales : communion pour le rouge, rayonnement pour le orange, foi pour le jaune, nature/santé pour le vert (nous dirions très certainement aujourd’hui « écologie »), harmonie pour le bleu, sagesse pour le magenta, et communication pour le violet. C’est peut-être là les perfections divines représentées par chacun des sept séraphins, des sept esprits de Dieu. C’est peut-être là les sept notes fondamentales de la divine liturgie. On retrouvera la description de ces couleurs de l’amour dans le livre Chiara Lubich, L’unité.

Tout est fait pour l’amour. Mais la divine symphonie connaît des fausses notes à cause de tous ceux qui ont renié Dieu. Ils n’ont pas voulu une communauté des personnes où chacun a son rôle à jouer, selon sa personnalité propre dans la diversité des sept familles des sept séraphins qui se diffractent dans la multitude des autres anges et des autres personnes humaines. Ils ont préféré l’univocité d’une unique spiritualité pour se prendre chacun pour Dieu. Le Christ au contraire, en venant habiter dans le cœur de chacun, permet la diversité où chacun a sa place, tout en réalisant l’unité du monde autour de Dieu.

Il est important aujourd’hui de retrouver les étoiles du Ciel que sont les anges pour que le mystère de vie et d’amour qui vient de Dieu puisse se déployer dans l’harmonie et la beauté que Dieu a voulu.

Nous vous suggérons pour finir la prière suivante : Prière aux anges glorieux.

archanges-lumiere

Vous pouvez télécharger ici une fiche sur les anges : Anges – fiche 1

En audio

Bibliographie

Denys l’Aéropagite, La hiérarchie céleste, http://livres-mystiques.com/partieTEXTES/Lareopagite/Hierarchie2.htm

Thomas d’Aquin, Somme théologique, http://docteurangelique.free.fr/saint_thomas_d_aquin/oeuvres_completes.html#01_grandes_syntheses

Abbaye du Barroux, Catéchisme des anges, Editions Sainte-Madeleine, Le Barroux, 2007

Serge-Thomas Bonino, Les anges et les démons, Parole et Silence, 2017

Gaëlle de la Brosse, Petite déclaration d’amour aux anges nos compagnons de route, Suzac éditions, 2020

Chiara Lubich, L’unité, Textes choisis et présentés par Donato Falmi et Florence Gillet, Nouvelle Cité, Bruyères-le-Châtel, 2015

Jean-Jacques Olier, Des anges, Fragrances divines et odeurs suaves, Seuil, Paris, 2011

5 commentaires sur “Nos amis les anges

  1. C’est une belle étude et une belle présentation des anges dont on ne parle pas assez actuellement.

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